Test d'acceptation comme salope de Maître Justin

Catégories : REEL FESSESTIVITES
il y a 8 ans

Compte rendu de mon test d’acceptation comme salope de Maître Justien.

Comme je l’avais précédemment précisé, mon futur Maître voulait me tester avant de décider s’il s’occuperait ou non de moi.

Le rendez-vous initialement pris pour 18h dans un club spécialisé sur Nancy (pour ceux qui connaisse), au niveau de la salle « fumoir », où je devais l’y attendre à genoux, fut avancé à 16h30. La durée du test avait été estimée, par Maître Justin à 2h – 2h30.

Comme consigne, je devais apporter mes « jouets préférés » (voir la photo dans ma galerie rubrique « M Justin test du soumis »).

Je suis arrivé vers 16h10, j’ai réglé les modalités d’accès au backroom, mis mes affaires dans une armoire et suis allé me positionner à l’endroit indiqué. Là j’ai dû me mettre côté toilette du fait qu’un superbe travesti été occupé à satisfaire tout un groupe de personnes (4 à 5). Elle était nue, juste en bas et chaussure à talon, un superbe corps, je l’aurais bien sucé, mais ce n’était pas mon rôle et il aurait fallu que je me fraye un chemin jusqu’à sa superbe queue.

Bref, n’ayant pas l’heure, je demande à une personne qui venait d’arriver l’heure qu’il était, au final, j’avais encore un peu moins de 10mm pour être en position. Quelques minutes plus tard, alors que tout le monde me regardait à genoux entrain d’attendre, la personne qui m’avait renseigné sur l’heure, s’approche de moi et en me regardant me dit suffisamment fort pour que tout le monde se retourne vers moi : C’est toi Frank celui qui veut devenir la salope de Maître Justin ?

Surpris, je lui ai donc répondu : oui c’est moi Maître.

Sans un mot, il se retourne vers le spectacle qui continuait juste à côté de nous. Après avoir fini de fumer son cigare (nous étions dans l’espace dédié à cela), il m’a demandé de trouver une cabine avec éclairage, d’y apporter mes affaires et de me mettre à poil. Là il prend son temps pour me juger, puis me fait lui présenter mes « jouets ». Il prend le temps de les examiner et me fait ranger tous ce qui ne l’intéresse pas pour cette fois. Ne sont conservés que : les pinces à linges, les pinces à tétons reliées par une chaine, les poids couleur noir, la grosse chaine, une laisse pour chien. En ce qui le concerne, il avait ramené : une paire de bas résille en laine, des lacets, des chainettes, une pancarte à mettre autour du cou, une bougie, du nécessaire de maquillage, et son appareil photo (qui ne va pas fonctionner correctement, image floue).

Début du test.

Tout a débuté par le mot d’arrêt dans le cas où je ne puisse plus être à même de supporter les jeux du Maître, tout en me précisant qu’il espérait que je ne m’en serve pas. Les 1ers jeux ont commencé, comme l’on peut s’en douter, par mes tétons avec un 1er test de résistance qui ne dura pas très longtemps. Puis il me fit mettre les bas, les accrocha à une chainette, mise autour de ma taille, me fit mettre des chaussures de femme (petit talon), me passa autour du cou un collier munie de 2 bracelets de contrainte où prirent place mes poignets. Il enchaina par la mise en place d’un bondage de mes couilles avec une cordelette puis d’un bondage de ma queue, au niveau du gland, dont il fit passer une extrémité de la cordelette dans un anneau de la grosse chaîne. Il attachât cette extrémité avec l’autre de manière à ce que ma queue soit très étirée vers le haut. Ainsi préparé, il apporta sa touche finale en me maquillant, me marquant sur le front « Salope Suceuse de Maître Justin » avec une flèche côté droit et gauche reliant cette phrase à ma bouche. Pour finir, il me passa autour du cou une pancarte avec l’inscription suivante : FRANCK, vraie salope j’appartiens à Maître Justin.

A la suite, il entreprit de me travailler les tétons de nouveau. D’abord avec les doigts, puis en y posant les pinces reliées avec une chainette, avec lesquelles il s’amusa de nouveau, puis mon corps se vi agrémenté de pinces à linge autour tour des seins et sur ma queue. Cette phase de préparation fut complétée par quelques claques sur mes fesses et seins.

Après avoir pris le temps de jouer avec moi dans cette cabine (qui est restée toujours porte ouverte), il m’a fait faire une ballade, tenu en laisse dans les couloirs du backroom histoire de bien m’exhiber et de lancer un appel aux bonnes volontés voulant s’occuper ou profiter de moi. Malheureusement, je n’intéressais a priori personne (faut dire que je n’ai pas le look Apollon, et à comparait avec le travesti qui était toujours présent, je faisais vraiment « pute » défraichie) ou alors, ils avaient peur ou n’étaient pas branché SM.

A un moment, le travesti est passé devant moi, alors que j’avais été laissé en position d’exhibition à côté de la pièce « fumoir », il m’a regardé avec un petit sourire de compassion, cela m’a touché je l’avoue, et ma donnée fortement envie de le sucer, mais cela n’est pas arrivé.

S’en est suivi d’autre moment de travail des tétons, du sexe et des couilles, par étirement des cordelettes servant au bondage, cravache …

Par la suite Maître Justin m’a conduit dans la pièce cinéma, il y avait 2 personnes, et en commentant le film qui était diffusé, leur a dit que s’ils voulaient, ils pouvaient m’utiliser pour se faire sucer ou me sodomiser.

Aucun n’a répondu à son appel !!! Je me suis senti frustré voir humilié de n’intéresser personne et du coup décevoir indirectement Maître Justin. Après quelques temps et de nouvelles balades dans les couloirs, il me reconduit dans la salle ciné et proposa à un homme qui est rentré juste après nous de se faire sucer par sa salope. L’homme avait l’air pervers de même que son attitude. Il a réfléchi un petit moment en me matant puis a demandé à Maître Justin s’il pouvait réellement, et a sorti son sexe pour que je commence mon travail de salope, enfin ! Ce fut assez rapide et peu pratique pour moi puisque j’avais toujours les mains attachées au niveau du cou. De plus dans cette position, plus ou moins accroupie, avec ma tête faisant des vas et viens sur sa queue, le poids fixé à la chaine reliant les pinces sur mes tétons, me procurait de vives douleurs de même pour mes couilles et mon sexe avec les cordes. Il est parti sans dire quoi après avoir fait son affaire. Maître m’a encore fait faire le tour du « propriétaire » histoire de voir si quelqu’un serait intéressé, mais non, du coup, il m’entraina dans une pièce équipée d’une croix de ST André. Après m’y avoir attaché, il a repris « l’éducation » de mes tétons, et s’est occupé du restant de mon corps : cravache sur le corps ; fesses, torse, couilles (là ça fait pas du bien, même si ce n’était pas fort), tétons, fessés à la main, il a de belles mains bien puissantes et large.

Puis après cette séance, je fus reconduit dans la 1ere salle qui est équipée d’un sling. Là, pour la suite du programme, il m’a enlevé : les pinces à linge, les pinces reliées avec la chainette (pour les connaisseurs, vous devez vous douter de la sensation après les avoir portées plus d’une heure, cela lui a bien plus) puis fait mettre dans le sling avec les pieds relevés. Une fois en position, il a sorti une bougie et a commencé le recouvrement de mon sexe avec la cire, puis un peu partout sur mon corps. Certaines parties sont moins sensibles que d’autres, comme l’anus par exemple. A un moment il m’a remis la bougie pour que je finisse de « traiter » mon sexe, pas facile quand on ne voit pas ce que l’on fait. Il s’est aperçu que la douleur semblait moins vive quand c’été moi qui utilisé la bougie sur mon corps, il la repris et a terminé son œuvre mais cette fois avec une distance presque sur la peau (donc chaleur et douleur accrue). La séance s’est terminée par quelques tours dans les couloirs pour une nouvelle exhibe avec la cire de bougie sur le corps et une éventuelle utilisation (en vain), pour finir, Maître à retirer la cire de mon corps, là aussi, cela la bien fait rire.

Au final, il m’a ramené vers mon casier non avons rangé nos petites affaires, discuté quelques instant pour échangé nos opinons et désirs mutuels et volonté ou non de se revoir, et il est parti.

Comme je n’avais pas prévu de serviette ni de savons et démaquillant, j’ai dû me débrouiller tant bien que mal pour me rendre un visage présentable. A l’issu, je me suis habillé, j’ai rendu le cadenas qui avait été mis à ma disposition à l’entrée et j’ai quitté le Club après avoir salué les employés encore présents, il était 19H45.

Maître Justin m’a fait savoir par un message, qu’il souhaité me revoir pour un nouveau test avant de me recevoir chez lui.

Dans les faits, il est maitre de mon utilisation, de qui et comment on peut m’utiliser, et des RDV qu’il pourrait prendre pour moi afin de m’envoyer chez des personnes qui pourront m’utiliser comme mon Maître en aura convenu avec eux.

Voilà qui termine, comme promis, mon compte rendu de test avec Maître Justin.

Respectueusement

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